D'un point de vue définition du besoin, ça me paraît au contraire frappé au coin du bon sens. D'ailleurs, les musées prêteurs imposent souvent leurs propres transporteurs. D'un point de vue responsabilité de l'emprunteur, ça me semble la meilleure solution.
L'anonymisation de l'expo comme du musée me laisse plus sceptique en revanche.
Rien n'empêche l'acheteur de se renseigner en amont pour connaître les exigences des musées prêteurs. AMHA c'est un moyen de se défausser sur le candidat et donc de ne pas respecter l'exigence de définition précise des besoins.